• Salut les enfants,

     

    Presque 2 mois que je suis parti profiter de la douceur andalouse. Mais comme toutes les bonnes choses ont une fin, l'automne commence à faire peu à peu son apparition. L'humidité et le chaud (relatif) des dépressions commencent à se faire ressentir. On est désormais bien loin des 30° des ces dernières semaines. Les températures sont maintenant de 17/18° au meilleur de la journée, mais les matins ça burle franc, surtout quand il se met à pleuvoir (rarement mais ça fait pas rigoler les mouettes). Tout ça pour dire que je vais pas tarder à me geler les arpions.

    Après au niveau des cours, je n'ai pas franchement trop à me plaindre. Même si certains cours ne m'interessent pas franchement (c'est un doux euphémisme), j'arrive à comprendre la grosse majorité de ce qui se dit, m'évitant un travail de traduction le soir venu.

    Le soir parlons-en justement. La vie en Espagne commence en général après 22h. Bar musicaux, bar à tapas, bar à couda occupent quelques soirées par semaine, les prix plutôt bas aidant. La pinte de bière, que je consomme avec mon ami modération (elle est connue mais sa fait touchours ricoler), que l'on payait 7 euros à Annecy, n'est içi qu'à 2 euros 30 tapas incluse. Le reste des soirées étant dédiées au gymnase, à des parties de foot avec des italiens ou encore à quelques cours de bachata et de salsa.

    Malgré ces soirées chargées, j'arrive un peu à bosser, les cours finissant à 14h30 au plus tard, j'ai tout l'aprem de libre. Enfin, après la traditionnelle "siesta" qui permet de  compléter les courtes nuits, car si les soirées commencent à 22/23h, le réveil sonne lui      toujours à 6h45.

    Enfin bref (comme dirait Pépin). J'ai aussi eu le temps de visiter un peu. Séville, les plages de Malaga, el día de la San Fermin et bien eviemment Cordoue. Mais ça, se sera pour dans quelques jours.

    Vous me manquez les enfants.

    La Bise.


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  •   Salut les gens.

     

    Etant l'un des derniers IERiens à partir, je suis dans les derniers à vous donnez des nouvelles. De plus la connexion internet a mit en peu de temps à arriver. Je peux donc maintenant retrouver la Ligue 1 et ses affiches alléchantes du style ETG-FC Metz, EA Guingamp-Stade de Reims ou encore OGC Nice-OL, et accessoirement vous donnez des nouvelles.

    Dans ce blog vous allez pouvoir suivre ma nouvelle vie pour un semestre, ainsi que la nouvelle vie de mes chers amis de l'IER éparpillés aux 4 coins du monde. Au fil de ce blog vous pourrez ainsi découvrir tout ce qui va entourer cette nouvelle vie: le soleil, la chaleur ( plus de 30° à l'ombre pour un début octobre, c'est pas vilain..), des rencontres et vous pourrez même assister à un MEURTRE.

    En effet, mes camarades (à dire avec l'accent russe c'est plus marrant ;) ) et moi nous sommes échangés des objets à emporter et qui doivent nous suivre durant notre voyage. J'ai donc reçu comme objet, avec pour objectif de la descendre (d'où l'histoire du meurtre), ceci........

    Un IER en Andalousie

     .... cette magnifique fiole de sapinette (produit phare du Haut-Doubs) qu'a produit Yvan himself.

    Enfin bref (comme dirait Pépin), je vais commencer aujourd'hui par une petite présentation du voyage.

    Je suis parti de la magnifique ville de St-Etienne (reconnue dans le monde entier pour son équipe de foot, et l'ambiance qui va avec, ainsi que pour son accent atypique) le samedi 13 septembre au petit matin. Mon point d'arrivée se situe 1 500 kilomètres plus au sud et 15 heures de voiture plus tard, à Cordoue. Etant un bon géographe, je me dois de mettre une carte.

    Un IER en Andalousie

     

    Avant cela, petit arrêt à mon lieu de vacances habituel Blanes en Catalogne pour se restaurer dans notre "cantine habituelle". Le temps de prendre une photo et me voila reparti.

    Un IER en Andalousie

     

    Pour la nuit, pause à Salou. Puis le lendemain, je repars pour Cordoue, où j'arrive finalement en début de soirée. Je vous conterai mes premières semaines dans une prochaine publication.

    Chers gens, IERs et lecteurs (je salut au passage Hannibal qui est un de mes fidèles lecteurs), c'est sur ces belles paroles qu'il est vraiment temps de se quitter.

     

    La bise


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